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The Smashing Pumpkins : nouveau morceau "Spellbinding" et performance live au Howard Stern Show


Les Smashing Pumpkins (alternative rock/grunge) ont partagé le nouveau single "Spellbinding", tiré du 3ème et dernier acte de leur album de 33 chansons, Atum. Le dernier chapitre de ce disque est attendu pour le 5 mai

En parallèle le groupe a annoncé la tenue du festival nord-américain The World Is A Vampire Tour, avec en 1ère partie Interpol, Stone Temple Pilots et Rival Sons.

Le cerveau de la formation, Billy Corgan, a expliqué à propos du festival : 

"J’ai grandi dans un monde où j’avais besoin de savoir que des groupes comme Siouxsie and the Banshees et The Cure existaient, cela signifiait qu’il y avait un endroit où les gens comme moi pouvaient se détendre et s’intégrer. C’est le but de The World Is A Vampire. Ramener ce sentiment de communauté.

Si vous ne vous intégrez pas, votre place est ici. Il s’agit d’avoir une expérience partagée et de respecter les autres, mais en fin de compte de s’amuser. Un véritable festival alternatif, où tous les excentriques et les étrangers peuvent se réunir et faire la fête."


Le groupe est également apparu sur le plateau du The Howard Stern Show pour y interpréter les titres "1979" et "Empires", ainsi que discuter des critiques dont ils ont été victimes dans l'industrie musicale.

Lorsque Stern a joué un extrait du single "Disarm" de 1994, tiré du 2ème album Siamese Dream (1993), Billy a partagé :

"… c’est moi qui ai écrit cette chanson. C’est moi qui ai arrangé ces cordes. J’ai fait cette chanson quand j’avais environ 25 ans, et c’était une chanson à succès. Pas une seule fois après cette chanson, personne dans ma vie - personne - ne m’a fait entrer dans une pièce et m’a dit 'Pouvez-vous m’en donner plus ?' Pas une seule fois on ne m’a demandé 'Pouvez-vous m’écrire plus de ces chansons ?'

Ils étaient plutôt style 'donnez-moi plus de celles qui vendent'. Vous comprenez ? 'Bullet With Butterfly Wings'… c’était moi qui disais : 'Tu veux que je sois ce rat dans la cage, me voilà.' Voici le rythme débile, voici le grand refrain rock, et c’était un grand succès.

Et ils étaient là 'génial, donnez-moi plus de ça'. Et à ce jour, et en passant, c’était genre quoi, il y a 28 ans ? À ce jour, les fans, que Dieu les bénisse, et les critiques demandent encore plus de rats dans la cage, ils ne demandent pas ce type [qui a écrit 'Disarm'.]"

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